SHARE (Survey on Health, Ageing and Retirement in Europe) – Vague 10 (Enquête) (En cours de labellisation)

Statut de l'enquête

Statut de l'enquête
Initiative Enquête internationale, hors initiative européenne.
Contenu du questionnaire Sans lien avec un règlement européen

Champs de l'enquête

Champs de l'enquête
Unité statistique enquêtée Individu ou ménage 
Champ statistique couvert

Individus âgés de 50 ans et plus vivant en logement ordinaire + conjoints/partenaires vivant sous le même toit sans critère d’âge.

Critères d’exclusion a priori usuels en enquêtes ménages : personnes ne maitrisant pas suffisamment la langue française d’une part, personnes incarcérées, insitutionnalisées, hospitalisées ou résidant à l’étranger durant l’intégralité du terrain d’autre part.

Les répondants à une vague de SHARE sont à nouveaux sollicités lors des vagues ultérieures selon une logique longitudinale (panel). Pour pallier l’attrition de ce panel (déménagement, lassitude éventuelle, décès), des échantillons de rafraichissements sont sélectionnés à intervalle régulier, toutes les deux vagues.

Champ géographique France métropolitaine + 25 pays de l'Union Européenne, Suisse, Israël. Voir détails sur la couverture régionale de la France dans la section

Présentation de l'enquête

Présentation de l'enquête
Titre du(es) questionnaire(s)

Deux questionnaires sont prévus dans l’enquête SHARE :

1) Un “questionnaire principal” administré en Face-à-Face par un enquêteur au domicile du répondant

2) Un questionnaire papier (appelé drop-off) remis au répondant et auto-administré

En cas de décès d’un panéliste SHARE ayant participé aux dernières vagues, un troisième type de questionnaire est proposé à l’un de ses proches : le questionnaire “fin-de-vie”.

Objectifs

SHARE (Survey on Health, Ageing and Retirement in Europe) est un projet européen de recherche articulé autour d’enquêtes en population générale portant sur les thématiques de la santé, des soins, de l’emploi et de la retraite, de la situation socio-économique et financière, des relations sociales et familiales, ou des conditions de vie et de logement.

L’objectif premier du projet SHARE est de fournir à la communauté académique et institutionnelle des données de cohorte détaillées permettant d’analyser la dynamique du vieillissement de la population en Europe ainsi que ses répercussions économiques, sociales et sanitaires de façon pluri-thématique et pluri-disciplinaire. Les données SHARE sont ainsi mobilisées dans les champs de l’économie, la sociologie, la santé publique et l’épidémiologie, la psychologie ou la démographie.

Thèmes du (ou des) questionnaires

Le questionnaire principal de l’enquête SHARE est organisé selon une vingtaine de modules thématiques qui couvrent les aspects suivants : santé physique et mentale, aptitudes cognitives, comportements à risque, recours aux soins sanitaires et de long terme, assurance santé et dépendance, habitudes de vie et activités quotidiennes, traits de caractère, préférences personnelles et croyances, emploi et retraite, prestations sociales, revenus, patrimoine, habitudes de consommation et d’épargne du ménage, conditions de logement, composition familiale et relations sociales, services et aide à la personne apportés ou reçus.

Le questionnaire drop-off est thématique et son contenu est laissé à la libre appréciation de chaque pays. En vague 9, en France, il intégrait les mesures suivantes : couverture assurance maladie obligatoire (CMU, ALD) et complémentaire (niveau de couverture offert, satisfaction, montant des primes), mesures de préférences temporelles et d’aversion (au risque, à l’ambiguïté, à l’impatience…), perception des risques de survenue d’évènements indésirables dans le futur (dépendance, décès). Le contenu du questionnaire drop-off de la vague 10 est encore en cours de définition.

Le questionnaire “fin-de-vie” cherche à documenter les aspects suivants : conditions (lieu) du décès, prise en charge au cours des derniers mois de vie (gestion de la douleur, recours aux soins,…), maintien des aptitudes cognitives, impact de la pandémie de Covid (sur la prise en charge de la personne, la présence des proches,…), transmission du patrimoine.

En vague 9, un auto-questionnaire avait été soumis aux enquêteurs SHARE afin de mieux connaitre leur profil (ancienneté, niveau d’études, activité annexes), leurs pratiques professionnelles, leurs représentations et leurs opinions vis-à-vis du métier d’enquêteur, des enquêtes en général et de SHARE en particulier, leur perception du vieillissement et des personnes âgées dans la société, etc. Ce protocole ne sera pas reconduit en vague 10.

Historique

L’enquête SHARE “classique” existe sous une forme globalement inchangée depuis 2004 : 9 vagues se sont succédées entre 2004 et 2022.

Des collectes spécifiques ont complété et parfois remplacé l’enquête SHARE classique au fil du temps, pour enrichir les données recueillies et prendre en compte les évènements spécifiques de la période (crise économique de 2008, pandémie de Covid). Ces opérations de collecte satellites sont décrites dans la section “Place dans un dispositif statistique”.

Faits marquants précédentes éditions

Historique du taux de participation : taux de participation initial ~ 30% et taux de participation panel (probabilité conditionnelle de participer à nouveau) ~ 80%

La pandémie de Covid a eu les mêmes répercussions sur l’enquête SHARE que sur les autres enquêtes ménage en cours au moment de l’émergence du virus : ainsi, la vague 8 de SHARE, qui avait débuté en novembre 2019 a dû être arrêtée brutalement en mars 2020 au moment des périodes de confinement en Europe. Le taux de participation sur le panel n’a pu être que de 50% (contre 75 ou 80% en règle générale) en raison de cet arrêt brutal.

La participation en vague 9 a été signitificativement plus faible qu’au cours des vagues précédentes (le taux de participation global des ménages est de 53% dans le panel et de 17% dans l’échantillon de rafraichissement) sans que l’on puisse déterminer à ce stade si cette sous-performance est imputable à une conjoncture défavorable (pandémie de Covid, évènements en Ukraine, contexte politique national,…) ou reflète une tendance plus structurelle vis-à-vis de l’enquête SHARE ou des enquêtes ménage face-à-face en général.

On ne relève pas d’autre fait marquant spécifique — autre que les opérations de collecte annexes décrites par ailleurs dans les sections “Historique” et “Place dans un dispositif statistique”.

Concertation

Aucune concertation avec les partenaires sociaux ou les associations représentatives n’est menée au niveau national, essentiellement en raison des contraintes d’harmonisation stricte du questionnaire au niveau européen.

Origine de la demande

Les enquêtes SHARE ne répondent pas à une demande institutionnelle ou administrative, mais émanent d’une communauté européenne de chercheurs sur la problématique générale du « vieillissement ».

Place dans un dispositif statistique

Le projet SHARE constitue une infrastucture de données et de recherche qui s’articule autour de l’enquête SHARE classique, qui en constitue la pierre angulaire, et d’un ensemble de collectes de données annexes qui ont enrichi (et parfois remplacé) l’enquête usuelle.

Le questionnaire de SHARE classique a été amendé au fil des vagues pour prendre en compte l’évolution du contexte social et des questions scientifiques associées.

Le dispositif SHARE classique a été remplacé (en vague 3) ou complété (en vague 7) par un recueil rétrospectif sur les histoires de vie des personnes de 50+ ans, appelé SHARELIFE. Celui-ci s’intéresse aux conditions de vie (santé, socioéconomique…) dans l’enfance ainsi qu’à la succession d’évènements survenus au cours de la vie : enfants, partenaires, emplois, logements, etc.

Les vagues 6 et 8 ont été accompagnées de recueils de données “physiques” spécifiques auprès de sous-échantillons de participants : prélèvement de goutes de sang séché pour recueil de marqueurs biologiques (vague 6) et mesure de l’activité physique et des déplacements grâce au port d’un accéléromètre (vague 8).

Une enquête complémentaire en lien avec la pandémie de Covid a été développée et conduite (par téléphone) à deux reprises entre les vagues 8 et 9 auprès de l’ensemble du panel SHARE : SHARE Covid v1 à l’été 2020 et SHARE Covid v2 à l’été 2021.

L’enquête satellite HCAP, portant spécifiquement sur la cognition des personnes de 65+ ans, est également conduite auprès des répondants SHARE éligibles dans 5 pays (dont la France) à l’été 2022.

Extensions géographiques

Pas d’extension géographique ou de représentativité infra-nationale dans SHARE.

Utilisateurs

L’intégralité des données individuelles produites dans le cadre du projet SHARE sont mises à disposition sous forme pseudonymisée en open data.

Ces données sont mises à la libre disposition de la communauté académique et institutionnelle sous réserve i) d’une utilisation conforme aux règles édictées (notamment d’une utilisation non lucrative) et ii)d’une brève description des finalités des études ou recherches menées.

En avril 2022, le portail d’accès aux données SHARE recensait 14.000 utilisateurs inscrits.

Caractéristiques techniques

Caractéristiques techniques
Périodicité de l'enquête Ponctuelle ou pluri-annuelle
Période de collecte

L’enquête SHARE classique a lieu tous les deux ans environ. Le terrain de l’enquête se déroule sur plusieurs mois (entre 4 et 6 mois), généralement en hiver et au printemps. Les enquêtes satellites récentes ont eu lieu aux périodes suivantes : SHARE Covid v1 en juin-juillet 2020, SHARE Covid v2 en juin-juillet 2021, SHARE-HCAP de juin à septembre 2022.

La prochaine vague de SHARE (vague 10) est prévue pour se tenir entre janvier et juin 2024.

Mode de collecte

Le mode d’administration dominant de SHARE est le face-à-face. Le protocole prévoit ainsi que le questionnaire principal de SHARE soit administré en face-à-face par un enquêteur au domicile du répondant.

Le mode d’administration téléphonique est utilisé de façon complémentaire et plus ponctuelle, pour les premières prises de contact, l’étape de vérification de la composition du ménage ou dans le cas d’entretien spécifique avec le proche d’un panéliste SHARE décédé (entretien “fin-de-vie”). Par ailleurs, ce mode téléphonique a été privilégié pour l’administration des deux vagues de l’enquête ad hoc sur le Covid de l’été 2020 et l’été 2021.

L’auto-questionnaire “enquêteurs” a été soumis via Internet (CAWI) aux enquêteurs de la société d’enquête intervenant sur SHARE.

Enfin, un questionnaire papier (drop-off) d’une vingtaine de questions est auto-administré, c’est-à-dire rempli par le répondant lui-même.

Comitologie

La comitologie du projet SHARE est organisée au double échelon européen et français.

A l’échelle européenne, SHARE est organisé en Consortium Européen pour les Infrastructures de Recherche (European Research Infrastructure Council, ERIC). La comitologie du projet placée sous l’égide de ce SHARE-ERIC s’articule autour d’une assemblée générale et de 3 conseils : un conseil de surveillance scientifique, un conseil d’administration et un conseil de validation méthodologique.

À l’échelle de la France, la gouvernance proprement dite s’est limitée à la tenue d’un conseil scientifique réunissant des anciens responsables de l’enquête pour la France, des responsables de l’enquête SHARE dans d’autre pays et des chercheurs experts des données SHARE.

En outre, l’équipe SHARE de Paris-Dauphine organise des rencontres bilatérales avec ses principaux financeurs (Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, TGIR Progedo, CNSA, CNAV, COR) selon une périodicité semestrielle ou annuelle, et présente l’enquête et ses principales utilisations lors de conseils et de réunions à leur demande. Elle s’inscrit également depuis 2022 dans le consortium d’enquêtes LIFEOBS (réunissant l’Ined, l’Insee, Paris-Dauphine, Université de Bordeaux, Université de Strasbourg) ; cette infractusture LIFEOBS bénéficie d’un financement de l’ANR pour une durée de 8 ans.

Contraintes pour l'enquêté

Le temps de réponse au questionnaire principal de SHARE durant la vague 9 oscillait entre 60 et 75 min. Le questionnaire principal de SHARE en vague 10 étant peu modifié par rapport à la vague 9, nous nous attendons à des durées d’entretien assez similaires.

La durée varie largement (d’un coefficient x2 parfois) selon l’historique de participation (questionnaire initial vs. longitudinal), le statut du répondant dans le ménage (“référent” ménage ou non, 1er ou 2e membre du ménage interrogé), le lieu de résidence (logement privatif ou institution), l’âge et les difficultés du répondant, et le recours ou non à un tiers pour aider la personne âgée à répondre (proxy).

Le temps d’administration du questionnaire principal est sensiblement plus long (+15min en médiane) lors de la première participation à SHARE, au cours de laquelle sont recueillies des informations “invariantes” qui ne seront plus collectées à l’avenir, ou qui feront simplement l’objet d’une confirmation par le répondant. De même, certaines informations (relatives au logement, aux enfants, au budget ou au patrimoine) ne sont recueillies qu’au niveau “ménage” et les questions associées ne sont donc posées qu’une seule fois au sein d’un même foyer. Ainsi, la durée d’entretien est logiquement plus longue pour la personne désignée comme “référente” pour ces questions au sein du ménage (qui est généralement la première à être interrogée). Si les échantillons SHARE tirés initialement ne couvrent théoriquement que les personnes vivant en logement privatif, le suivi longitudinal propre à la logique de cohorte prévaut ensuit : ainsi les personnes déménageant en institution médico-sociale (EHPAD, etc.) entre deux vagues de SHARE sont suivies et se voient soumettre un questionnaire adapté, amputé de certains modules qui n’ont pas de pertinence dans ce cas là (logement, recours aux soins, soins à la personne etc.). Enfin, les questionnaires sont plus longs à administrer lorsque le répondant est en situation de “fragilité” (grand âge, déficiences auditives, visuelles ou cognitives, fatigue, etc.). Dans ces cas de figure, afin d’alléger la contrainte pour le répondant et accessoirement faciliter le travail de l’enquêteur, le répondants SHARE peut se faire aider par un proxy pour répondre à l’entretien. Le recours à un proxy contribue aussi, à l’inverse, à alléger le questionnaire de certains modules “subjectifs” pour lesquels le proxy n’est pas en situation de répondre à la place de l’enquêté (cognition, santé mentale, bien-être, espoirs et croyances…) et donc à raccourcir la durée de l’entretien.

Le remplissage du questionnaire complémentaire (drop-off) prend environ 10 min. La durée du questionnaire “fin-de-vie” est de 20-25 minutes. Enfin, le questionnaire Internet adressé aux enquêteurs en vague 9 était rempli en 15 minutes en moyenne.

Le questionnaire SHARE prévoit le recueil de nombreuses informations “sensibles”, en particulier l’état de santé (physique, mentale, cognitive) et le recours aux soins, les revenus (d’activité, de prestations…) et le patrimoine. Enfin, par nature, le questionnaire “fin-de-vie” aborde des sujets particulièrement délicats et potentiellement douloureux pour les répondants.

Contrairement à ce qui a pu être le cas par le passé (gouttes de sang séché en vague 6, port d’un accéléromètre en vague 8), la vague 10 de SHARE ne prévoit pas de recueils nécessitant une “intervention physique” sur le répondant — qui avaient fait l’objet en leur temps de demandes d’autorisations spécifiques relevant du champ de la recherche sur la personne humaine (CCTIRS/CPP).

Organisme collecteur Société d'enquête privée (choisie par marché public). Lors des 4 denières vagues de SHARE (6, 7, 8, 9) c'est la société Kantar Public qui a assuré la maîtrise d'oeuvre de l'enquête.
Plan de sondage

Lors des 3 premières vagues de SHARE, l’enquête était conduite exclusivement par l’Insee et ne portait que sur 7 (anciennes) régions françaises. A partir du rafraichissement d’échantillon de la vague 4, et à l’occasion de l’arrivée d’une société d’enquête privée pour asssurer la maîtrise d’oeuvre de l’enquête, l’ensemble des régions de France métropolitaine ont été couvertes.

Le panel de répondants SHARE est sollicité lors de toutes les vagues successives selon une logique longitudinale, tant qu’ils peuvent et souhaitent répondre. L’échantillon d’ensemble a toutefois fait l’objet de rafraichissements réguliers, lors des vagues 2, 4, 6 et 8. Un nouveau rafraichissement de l’échantillon est prévu pour cette prochaine vague (10).

Les principes généraux du plan de sondage sont demeurés inchangés lors des différents tirages successifs au titre du rafraichissement, aux différences près dans la base de sondage mobilisée au fil du temps. Il s’agit d’un tirage de “ménages” à deux degrés. Le 1er degré consiste en un tirage d’unités primaires à partir de l’échantillon maître de l’Insee et le 2e degré consiste en un échantillonnage de “ménages” correspondant à des logements privatifs en résidence principale (= fiches-adresse), stratifié par âge des membres du ménage (connu par le biais du RP).

L’usage a été de découper l’échantillon de rafraichissement en un échantillon principal et 2 ou 3 échantillons de réserve, généralement de plus petite taille, dont le déclenchement ou non dépendait de la performance réalisée sur l’échantillon principal.

Le modèle et la méthode de tirage de l’échantillon de rafraichissement pour la prochaine vague de SHARE (v10) vont changer plus en profondeur. En effet, le tirage sera désormais effectué sur des “logements” à partir des données fiscales (environnement FIDELI) et les unités primaires concernées par l’enquête SHARE seront sélectionnées au 1er degré par un tirage ad hoc directement à partir de la base de sondage FIDELI complète (et non pas sélectionnées à partir de l’échantillon-maître NAUTILE de l’Insee). La spécification précise du 1er degré de tirage, et notamment le choix des variables pour équilibrer le tirage, est en cours de définition en collaboration entre la maîtrise d’ouvrage (Université Paris Dauphine-PSL) et la division Sondages de l’Insee. Il en va de même pour les spécifications du tirage de 2e degré (stratification, taille, découpage en échantillons principal et de réserve, etc.) qui devraient toutefois être assez similaires aux vagues précédentes.

Taille de l'échantillon 10.000 ménages environ (panel + rafraichissement) pour un objectif final de 4.000 entretiens individuels en France (90.000 entretiens environ à l'échelle européenne)

Service producteur et diffusion

Service producteur et diffusion
Service(s) producteur(s) Université Paris Dauphine - Laboratoire d'économie et de gestion des organismes de santé (Legos)
Partenariat Financements nationaux pour la production de l'enquête : Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, TGIR Progedo, CNSA, CNAV, Université Paris-Dauphine-PSL, COR. Financements européens (European Research Executive Agency) et nationaux (Université Paris-Dauphine-PSL, CNSA) pour la valorisation et la recherche. Financement spécifique de l'ANR dans le cadre du consortium LifeObs pour le développement méthodologique en continu de l'enquête.
Date prévisionnelle de la première publication

Compte tenu des temps de post-traitement nécessaires (vérifications, nettoyages, pseudonymisation), les données d’une vague de SHARE sont mises à disposition du public en intégralité environ 1 an après la fin du terrain. Ainsi, à titre indicatif, et sous réserve du respect du calendrier prévisionnel, les données complètes seront rendues publiques en juin ou juillet 2025. Dans le cas des enquêtes SHARE-Covid, ce délai avant mise à disposition des données a été réduit à 4 ou 5 mois.

Les publications de synthèse associées à une vague donnée de SHARE interviennent généralement 6 mois plus tard, soit environ 1 an et demi après la fin du terrain, aussi bien à l’échelle européenne (methodology volume, first result book) qu’au niveau français (note de synthèse des résultats).

Avis d'opportunité

Avis d'opportunité
Date commission/formation 29/09/2022
Date début de validité 01/01/2023
Date fin de validité 31/12/2027
Commission Cnis Services publics et services aux publics
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